Reporter cadavérique: un drôle de « métier » au Cameroun
4 octobre 2016
J’ai assisté aux obsèques du « gars », (non officiel) d’une connaissance mbenguiste, tout récemment à Lolodorf, chez moi. Au moment où on s’apprêtait alors à descendre le cercueil dans la tombe, la pauvre a seulement failli entrer en transe. C’est vrai qu’elle pleurait en « whitisant » hein. Je ne savais d’ailleurs pas que mes sœurs « Ngoumba » savaient si « nyangalement » pleurer ! Tellement c’était dur, que j’ai cru qu’elle allait entrer…