Ces trois types de Camerounaises qui violentent les hommes
Très tard cette nuit, j’ai encore brusquement été réveillé par mon voisin, qui cherchait un « refuge » rapide, car copieusement roué de coups par sa femme. C’est ainsi chaque fois éh. Cette fois-ci, le gars serait rentré trop tard dans la nuit et aurait voulu « mettre un peu de piment dans la sauce de sa go ». Mais la petite, gonflée à bloc, a dit « nyet ».
Dans son insistance téméraire, le gars a reçu la « dose adulte » de sa rococo et baraquée petite, qui l’a bien tabassé massa ; non sans l’avoir traité d’impuissant et de grand dameur hein. D’ailleurs, il est interné dans une clinique depuis ce matin. La bastonnade était de taille. J’ai même reçu pour ma part des coups à l’œil, en séparant la bagarre. Yes !
A cause de ce genre de choses, j’ai toujours dit aux femmes que l’affaire de la «la journée internationale des violences faites aux femmes et aux filles» célébrée chaque année là, hum. Chaque fois qu’arrive cette journée, je souris et me dis : ah, ces femmes Camerounaises, sont-elles même conscientes des violences qu’elles font aussi subir aux hommes ici dehors ? Et personne n’en parle hein.
Ces dernières heures alors, les réseaux sociaux sont inondés des dénonciations pour le coup de pied que Koffi Olomidé a donné à une ses danseuses. Je dis, oui, il ne faut pas violenter les femmes. Mais, il ne faudrait pas oublier que les violences ne sont pas seulement l’apanage de celles que les femmes subissent hein. Non ! Les hommes aussi broient bien du noir. Juste que, les pauvres victimes préfèrent silencieusement se taire, souvent par honte et par souci d’orgueil, tout simplement.
1- LES GARÇONS MANQUÉS, RIEN SANS LEUR « MATÉRIEL » (la violence physique)
Les femmes oublient dans notre pays-ci, qu’il y a un genre de femmes là, style garçon manqué, baraquée, presque barbue, à la voix rauque, très robuste et costaude, tellement dure de visage massa, et jamais souriante hein, style Zakougla. Edoudoua en sait quelque chose.
Le genre de femmes là, est toujours nerveuse, et ne manque donc jamais l’occasion d’exprimer sa virulence en bastonnant copieusement les hommes. Elles ont le foléré à l’œil jusqu’à.
A côté d’elles, et dans le même groupe, leurs sœurs jumelles, aux réactions épidermiques comme mes sieurs Eton, et qui utilisent le « matériel » comme renfort. Elles trouvent toujours tant de plaisir à porter la main sur les hommes, en utilisant justement de ces pratiques aussi absurdes qu’insolites comme l’eau chaude, les couteaux, les lames de rasoir, les machettes, les gourdins, les pilons, le bâton du couscous, les gros cailloux et même les bouteilles cassées hein.
Elles savent alors infliger aux hommes de véritables bastonnades, de vraies séances de correction, dans nos maisons et nos rues là. Mais personne ne dit rien hein. Car par orgueil et par honte, les pauvres hommes battus, préfèrent gérer leurs douleurs en catimini et souffrir en solo. Vous leur demanderez alors, sur le lit d’hôpital, comme à mon voisin, ce qui s’est passé.
Ces messieurs battus vous répondront carrément alors, avec un de ces faux sourires tristes, qu’ils ont juste eu un petit accident de la circulation, ou une légère chute d’escalier. Ah bon hein ? Minalmi.
2- LES « MAL-BOUCHEUSES », DIPLÔMÉES EN INSULTES (la violence verbale et morale)
Là alors, c’est le terminator. L’homme est sans cesse confronté à cette autre forme de violence trop grave : les insultes, les injures et les plaintes incessantes. Voilà alors le sport favori des Camerounaises. Elles adorent ça. Là, elles ont la palme d’or !
Ce sont là, leurs plus graves violences, teintées de barbarie et de mépris. Quand celle-là tord sa bouche pour insulter un homme, tu peux lui décerner là là là, le doctorat en « insultologie », avec mention, très honorable.
Ce genre de femmes, tient donc toujours à l’encontre des hommes, des propos très déplacés, méchants, méprisants et insoutenables. Elles leurs disent des choses impolies, troublantes, humiliantes, vexantes, irrévérencieuses et parfois très menaçantes.
Elles ne vont donc pas manquer d’élever le ton devant l’homme, de le dévaloriser, de le dénigrer, ou de le réprimander publiquement et très farouchement, parfois devant ses voisins, ses amis, sa famille et ses collègues. Pire alors, quand elles sont foirées et veulent de l’argent impatiemment pour leurs greffes chinoises. À ce moment hein, elles deviennent des lionnes follement enragées. Tant pis oh.
Les bouches de ce genre de femmes sont des carquois, dotés de langues vipérines. Elles s’en servent alors comme moyen de défense ; une véritable arme de destruction massive. Ce qui sans doute blesse, frustre et contraint les hommes à la résignation. Quand le genre là t’insulte donc, tu commences seulement à pleurer. D’ailleurs, tu l’oublieras seulement le jour de ton décès. Onong.
3- LES SAUCES « SEXUELLEMENT INACTIVES » (la violence sexuelle)
Et c’est là où les Camerounaises ont toutes alors la médaille d’or. Pas qu’elles violent les hommes hein. Non ! Mais leur refus catégorique de « faire », de «wang, wang, wang », de faire goûter leur « sauce » là, c’est comme un coup de poignard dans le dos des hommes. Empruntes même mille dizaines, madame ne cédera pas sa sauce éh.
Et pendant toute cette négociation, « petit turbo » est au garde à vous comme un militaire en pleine exécution de l’hymne national. Tu vas sauf que souffrir mon type. Rampes même, c’est pour toi là-bas. Non, c’est non massa.
Et les femmes oublient donc que cette violence sexuelle nous traumatise tant. Sincèrement, imaginez un gars qui veut déjà faire, qui bave lui de mettre son piment dans la sauce, mais, reçoit un refus catégorique massa. Plus violent que ça, moi je ne connais pas. Onong.
Et le genre de go là, si tu dors avec elle, et que tu insistes toute la nuit hein, la nga porte alors une large boxeuse, ajoute une grosse culotte, met le dean en haut, pose le kaba au dessus, termine par le blouson et le pull over et va se coucher sur le canapé en versant une grosse couverture sur elle ! Tu vas faire quoi à ce moment là éh ? Tentes alors de violer le couvre feu, elle va te ramasser avec de grosses injures à 3h du matin et même crier « au violeur! ». Jusqu’à ta part vient.
Éh oui ! Des jours et des jours, des semaines et des semaines, des mois et des mois, les femmes privent ainsi les pauvres hommes de tout ce que les hommes ont de plus cher au Cameroun, après la bière : le sexe. Pire alors, celles qui sont nées de nouveau là. Celles de « l’église des femmes de Jésus ». Abomination oui. À mof !
Les femmes oublient donc carrément la forte tristesse qu’elles font subir aux hommes avec ces violences, et ignorent totalement toutes les souffrances qu’elles leur font endurer au quotidien.
AUTANT DONC DE VIOLENCES INFLIGÉES AUX HOMMES PAR LES FEMMES…
Les campagnes de prévention à la violence parlent plus de la violence faite aux femmes, mais pas de celle faite aux hommes. Pourtant, tout comme les femmes , les hommes sont si nombreux là dehors à subir les affres des femmes. Ils sont violentés et maltraités et ne savent parfois pas ce qui leur arrive. Ils le cachent même. Ainsi, beaucoup d’entre eux rencontrent des femmes qui les vampirisent et les tuent à petit feu !
Dans tous les cas, les hommes battus du Cameroun là, à partir d’aujourd’hui hein, rejoignez-moi et fondons ensemble l’association « S.O.S HOMMES BATTUS »! La perversion n’a pas sexe dis donc.
Mon voisin sera élu président par acclamation ! C’est quoi même!!!! Hum, mais j’espère que sa go ne va pas lire tout ceci hein. Elle peut également venir se lâcher sur moi comme ça oh.
Au MBOA, nous sommes vraiment formidables.
Fabrice NOUANGA
Contact WhatsApp : +237-694-658-721
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